Mebrat est éthiopienne. Dans son village, on pratique encore l’excision. C’est contre cette tradition que la jeune femme, moderne et courageuse, va décider de s’élever en refusant de confier sa cadette à l’exciseuse. Comment réagira le village ?
Dans ce troisième roman, Christelle Angano aborde un sujet difficile avec pudeur et délicatesse. Un hommage aux femmes, à celles et ceux qui se battent et qui résistent.
J’aime beaucoup ce roman, paru aux éditions de la Rémanence. Son sujet et la manière sensible dont il est abordé. Les personnages sont vrais et attachants, l’Éthiopie l’imprègne, ses traditions, ses couleurs, ses odeurs, ses habitants.
Délibérément positif, ce roman laisse sa chance à l’espoir. Le sujet, difficile, est traité avec délicatesse, en avocat, en militante, plus qu’en procureure, sans jamais être misérabiliste… Simplement humain.
Une histoire bouleversante.
La fin, comme une espérance qui éclot, est particulièrement émouvante.
Bravo. Bien joué.
Merci Henri. Ce roman a été difficile à écrire ; l’angle n’était pas évident à trouver. Alors oui, pour toutes ces raisons, ton retour me touche et je suis très fière qu’il fasse partie des romans que tu aimes « beaucoup ».
Christelle